Anders Leonard Zorn (1860-1920)
Olje på lerret, 91 x 61 cm, privateie.
Mere informasjon om dette bildet kan vi finne på Bukowskis nettsider.
Sist observert ved auksjon hos Bukowskis i Stockholm, der tilslaget falt på SEK 6 100 000, noe høyere enn prisantydningen.
Hvor vidt Zorn her har hentet inspirasjon fra Stéphane Mallarmés dikt L’après-midi d’un faune (1876) skal være usagt, men assosiasjonene kommer av seg selv, uansett om dette er Dalarna i Sverige og ikke Sicilia.
Ô bords siciliens d’un calme marécage
Qu’à l’envi des soleils ma vanité saccage,
Tacite sous les fleurs d’étincelles, contez
» Que je coupais ici les creux roseaux domptés
» Par le talent ; quand, sur l’or glauque de lointaines
» Verdures dédiant leur vigne à des fontaines,
» Ondoie une blancheur animale au repos :
» Et qu’au prélude lent où naissent les pipeaux,
» Ce vol de cygnes, non ! de naïades se sauve
» Ou plonge.. »
og ikke minst
Ô nymphes, regonflons des souvenirs divers.
» Mon œil, trouant les joncs, dardait chaque encolure
» Immortelle, qui noie en l’onde sa brûlure
» Avec un cri de rage au ciel de la forêt ;
» Et le splendide bain de cheveux disparaît
» Dans les clartés et les frissons, ô pierreries !
» J’accours ; quand, à mes pieds, s’entrejoignent (meurtries
» De la langueur goûtée à ce mal d’être deux)
» Des dormeuses parmi leurs seuls bras hasardeux ;
» Je les ravis, sans les désenlacer, et vole
» À ce massif, haï par l’ombrage frivole,
» De roses tarissant tout parfum au soleil,
» Où notre ébat au jour consumé soit pareil.
Wilhelm Stenhammars (1871-1927) Sensommarnätter op. 33, fem klaverstykker utgitt i 1914, men trolig skrevet rundt forrige århundreskifte, spilles her av Janos Solyom.